Rassurée sur les sentiments de Suzaburo, Alexandra navigue à la aise dans une vie bien remplie. Naturellement, elle s’est dispensée d’informer Waï de sa liaison à trois avec le bel acteur et son frère. Se croyant le « protecteur » unique, il poursuit l’éducation de la jeune femme, l’initiant entre autres au shibari (ligotage artistique) , puis la conviant au spectacle d’une douche de sperme, châtiment dévolu aux femmes adultères , ce qui provoque un petit frisson anxieux chez la cachotière. Cependant, Alex à assisté au tournage en extérieur d’un film de genre « viol de la pudeur » dans lequel l’actrice est possédée par un étalon, à peine dissimulée aux yeux d’un public qui s’assemble. L’appétit venant en mangeant, voici Alexandra saisie par un soudain désir d’exhibition. Pourquoi ne pas provoquer la légion des
chikans (les peloteurs) qui sévissent dans le
métro ? Pas la meilleure idée du monde… (dernier extrait).
D’autres aventures attendant Alexandra et ses amies.
La mafia japonaise et ses longs couteaux dans les parages, mais dans la vie, tout finit toujours par s’arranger — même mal, comme disait Cocteau.
Autres extraits du roman qui plus bas dans ce blog.
Les petites culottés japonaises
Média 1000 / La Musardine éditeur.
Format papier et numérique.
Numérique : Amazon, Fn ac, La Musardine et autres sites libraires en ligne.
Ma bibliographie complète tout au fond du blog.