Sarah de La Force

En Italie, je suis devenue libertine. Roman Média 1000 / Musardine   En Italie je suis devenue libertine  Papier ou numérique.  Média 1000/Musardine éditeur  Sur le site où Amazon, Fnac etc. D’autres extraits de ce roman dans des posts précédents sur ce blog.   

  En Italie je suis devenue libertine. Collection Confessions Erotiques - Média 1000 éditeur   Ce  roman a donné lieu à une première publication  en 2007 sous un titre stupide : En Italie j’ai partouzé comme une folle.  A ma demande, l’éditeur a accepté de le modifier pour la nouvelle édition. Le texte, lui, demeure inchangé, l’histoire de Vincente, jeune fille assez peu investie dans son métier de journaliste mais très intéressée par les plaisirs piquants offerts par l’existence   Sa rencontre avec un  photographe célèbre, amateur de fruits verts et volontiers pygmalion , va l’entraîner du nord au sud de l’Italie à la rencontre de personnages extravagants dans des décors peu  ordinaires. On lira ici quelques extraits de ses aventures   En Italie je suis devenue libertine.  Disponible en pamier ou numérique. Media 1000 - Musardine  éditeur.  Sur leur site où Amazon, Fnac, Decitre etc.

Image générée par ChatGPT sur mes indications et retravaillée sur IPhone DE PLEIN FOUET   La carrosserie du scooter trouble d'un soupçon de rose les fumées grises de la rue. Quelques minutes encore et un rayon rasant éclairera le ciel, les oiseaux qui se font la voix dans les branches célèbreront en chœur la naissance d'un beau jour de juin.   Un pied à terre, les yeux sur le feu qui tarde à passer au vert, Serena n'y songe pas. Epuisée par sa nuit à l'hôpital, elle n'a pour horizon que la douche et le lit et elle est bien près de s'assoupir sur la selle de son cheval mécanique quand le grondement d'un moteur en sur régime fracasse le silence et la redresse.  Le décor bascule, traversé par un éclair fauve, le hurlement désespéré de freins impuissants à éviter la catastrophe. Au milieu de la chaussée, une voiture à capote baissée réalisé  un  tête-à-queue cinématographique   et s’en va s’écraser contre la grille du square où les arbres frissonnent. Sa m...

                   Louise est à présent lancée dans la carrière d'escorte. Les premiers mois, le chemin ressemble à la yellow brick road du Magicien d'Oz, mais bientôt, la magie de l'argent facile et des bulles de champagne se dissipe, laissant place à la fatigue, l'ennui, voire l'écoeurement au terme d'une soirée pénible. Un client a exhibée la jeune femme au bois de Boulogne, puis a insisté pour racoler un homme qu'il lui impose    dans le studio qui lui sert de garçonnière.      Choquée, Louise ouvre les yeux : tous les clients ne sont pas séduisants, bien élevés et agréables. Leurs désirs, elle est payée pour les satisfaire — une  mercenaire qui ne peut se dérober, quelques que soient ses répugnances.       Et il faut encore compter avec les angoisses générées par sa double vie, les avances de Mila, sa patronne qui ne cache pas son attirance pour la nouvelle recrue.   ...

      Le Commerce des Corps m'a été inspiré par une rencontre inattendue dans un club libertin de Paris. J'y dînais avec des amis, et à un moment, agacée, je les ai plantés. ( Les lecteurs désireux d'en savoir plus sur les circonstances de ce dîner se reporteront à l'interview donnée à  la sortie du livre et publiée dans ce blog.).       Au bar, j'ai été abordée par une femme qui, pour une raison ou une autre, peut-être le fait de me voir solitaire sur mon tabouret, a pensé qu'un emploi d'escorte pourrait m'intéresser. C'était amusant, j'ai laissé filer le malentendu et pris la carte qu'elle me tendait.      Quelques jours plus tard, au cours d'un déjeuner, j'avouai mon désir d'écrire sur les jeunes femmes qui louent leurs services pour une soirée ou une nuit à des messieurs seuls. C'est ainsi que je fus mise en rapport avec quelques-unes des filles qu'elle drivait et qui ont accepté de répondre à mes questions. ( Là ...